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Repères géographiques de la Plaine et des Rieds

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26 février 2014

  Relief et eau

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Plaine et Rieds carte relief et eau
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Plaine et Rieds bloc-diagramme relief et eau
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Un faible relief
Aucun relief notable ne vient perturber l’horizontalité de la plaine d’Alsace caractérisée par un large glacis alluvial dont la pente descend du sud-ouest (245 m d’altitude à Bollwiller) vers le nord-est (148 m d’altitude à Nordhouse). Les crues des rivières ont constitué de petites levées alluviales entre lesquelles se sont établis des fonds humides : les Rieds, notamment le grand Ried du centre de l’Alsace. Dans cette topographie extrêmement plane, la butte du Gloeckelsberg à Blaesheim qui culmine à 199 m et s’élève à environ 50 m au-dessus de la plaine, fait figure d’évènement majeur.

Nappe et rivières phréatiques affleurantes
Les couches épaisses d’alluvions déposées par le Rhin depuis deux millions d’années forment le réservoir de la nappe phréatique. Cette masse est la plus grande réserve souterraine d’eau potable d’Europe. Dans la plaine, le toit de la nappe est toujours proche de la surface du sol, à une profondeur variant de 0,5 à 1,5 mètres. Avant la construction du Grand Canal d’Alsace, elle était en relation étroite avec le Rhin et son niveau tendait à s’équilibrer avec celui du fleuve. Depuis, cette influence s’étant considérablement amoindrie, le niveau de la nappe a subi une baisse qui se poursuit actuellement.
Dans les secteurs les plus déprimés de la Plaine (les rieds noirs), la nappe souterraine, maintenue captive sous le sous-sol argileux, arrive à percer cette couche imperméable en des points de moindre résistance appelés Dönnerlöcker : ce sont de petits cratères d’où jaillissent de l’eau de la nappe, qui donne naissance aux nombreuses rivières phréatiques, dont le Ried Centre Alsace possède le réseau le plus étoffé d’Europe.

Les inondations du Ried

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Plaine et Rieds carte des zones inondables

Les inondations, phénomène qui caractérise le Ried, se produisent généralement après les pluies d’automne et lors de la fonte des neiges. Elles sont dues au débordement de l’Ill et de la Fecht, mais des remontées de la nappe phréatique peuvent maintenir les sols inondés après la décrue des rivières. La distinction entre ces deux types d’inondations est difficile, car ils se combinent dans bien des cas. L’examen de l’ensemble de la zone inondable du Grand Ried, couvrant approximativement 184 000 ha, permet néanmoins de distinguer deux zones :
- un secteur où dominent les débordements de l’Ill (environ 120 000 ha) : il est grossièrement situé entre la RN 83 à l’ouest et les digues et routes digues à l’est. L’érosion des sols y est devenue par endroits très importante, depuis le retournement des prairies.
- un secteur davantage dominé par les remontées de la nappe, ainsi que les eaux de débordement des rivières phréatiques, souvent liées aux crues de l’III. Il s’étend à l’est de la zone d’influence de l’III jusqu’au canal du Rhône au Rhin. Englobant surtout le Ried noir, les problèmes d’érosion des sols sont moindres dans cette zone et se limitent aux abords des cours d’eau.
Les grandes surfaces d’échange que constituent les champs d’inondation favorisent l’alimentation de la nappe phréatique et contribuent à écrêter les débits de crue de l’Ill et de ses affluents.

Un chevelu de cours d’eau autour des principales rivières de la plaine
L’Ill reste la rivière principale de la plaine d’Alsace. Il est rejoint par les rivières vosgiennes : Thur, Fecht, Giessen, Andlau, Bruche… Dans le relief plat de la plaine, chaque cours d’eau serpente, formant de nombreux méandres et bras secondaires et est accompagné dans les rieds d’un chevelu de ruisseaux secondaires.
La plaine est traversée également par trois canaux : le canal de la Bruche au nord, le canal du Rhône au Rhin à l’est te le canal de Colmar au centre.

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L’Ill est le cours d’eau principal de la Plaine d’Alsace. Son cours a été endigué sur une bonne partie de son linéaire. L’Ill en aval de Colmar

  La roche et le sol

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Plaine et Rieds carte sols. Source ARRA
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Plaine et Rieds bloc-diagramme roches et sols
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Des langues de sol orientées nord-sud
Les sols de la plaine sont organisés en langues contrastées, orientées nord-sud, atteignant souvent 20 km de long, que les hommes ont rapidement appris à différencier. Jusqu’aux années 1970, on reconnaissait les champs d’asperge dans les secteurs plus sableux, les choux dans la tourbe, et des oies pâturaient dans les prairies. La récente domestication du Rhin et la généralisation de l’irrigation ont en grande partie effacé ces contrastes aujourd’hui.

Un premier contraste résulte de la provenance des eaux : les rivières vosgiennes au contact du piémont, l’Ill en partie médiane, et le Rhin à l’est. L’Ill est la rivière historique de la plaine ; c’est elle qui a charrié les sédiments vosgiens qui ont d’abord comblé le fossé alsacien sur 1000 à 3000m d’épaisseur. Le Rhin, apparu très tardivement -quasiment en même temps que l’homme- a cependant remanié toute la partie centrale du fossé, le recouvrant d’alluvions alpins atteignant 250m à Markolsheim.

Un second contraste résulte des subtilités entre dépressions et replats. A peine perceptibles à l’œil en été, les rieds (du germanique « ried : roseau, roselière ») et bruch (« marécage ») sont en revanche recouverts d’une nappe d’eau en hiver et restent brumeux une bonne partie de l’année.
Les secteurs légèrement rehaussés -de 3 à 5 mètres, rarement plus- sont jusqu’au milieu du 19e s les seules terres émergées lors des grosses crues de fin d’hiver. Ce sont surtout les terrasses caillouteuses de la Hardt grise déposées à proximité du Rhin ; épargnées des crues, elles conservent souvent un précieux manteau de limon éolien fertile (7). C’est sur ces langues que passent les premières voies celtes, aménagées plus tard en voies romaines. Elles sont bientôt bordées d’un chapelet de villages proches du fleuve qui vivent de la culture, de la pêche et dès le haut moyen âge, du commerce fluvial avec tout le pays rhénan germanique. Au 19e s, elles seront encore empruntées par la ligne de chemin de fer.
Dans les parties basses, les lits mineurs du Rhin (8) ou de l’Ill (10) sont inondés chaque hiver tandis que les parties rehaussées de 1 à 3 m ne sont en eau que lors des grosses crues de l’Ill (11, 12) ou du Rhin. L’eau arrive de deux façons. Le cours d’eau déborde lors de pluies torrentielles ou de la fonte des neiges et dépose des limons fertiles. En fin d’hiver, l’eau remonte directement de la nappe à-travers le sol de graviers, surtout à proximité du Rhin.

Les alluvions fertiles
Les paysans repèrent très tôt les terres naturellement fertilisés par les limons de l’Ill qui se ressuient les premières, qu’ils peuvent mettre en culture aussitôt passée la dernière crue : les limons profonds (11) et les vastes rieds gris localement tourbeux (14). Les premiers carrés de choux ont probablement remplacé la forêt de la Hardt rhénane (7) dès l’antiquité mais au 16e siècle, les prussiens inventent le procédé de la choucroute qui fait sans doute exploser les surfaces de choux dans la plaine d’Alsace. C’est sans doute quand l’Alsace devient française au 17e siècle que le tabac se développe, sous l’impulsion de Colbert ; c’est également la période où le maïs s’installe. Importé d’Amérique, ses rendements atteignent environ une fois et demie ceux du froment, mais sont également moins aléatoires. Il supporte bien les printemps et les étés humides, et les terres humides où les blés se couchent avant la récolte. Il est vanté à l’époque comme plante à tout faire : le grain pour les hommes et la basse cour, cochon compris, et le fourrage pour le bétail. Son appétence pour les volailles en fera le support de l’économie du foie gras.

Des argiles, en revanche, s’accumulent au fond des « flaques » où stagne jusqu’au printemps (15). Ces marécages souvent tourbeux courent sur des kilomètres au pied des terrasses de l’Ill (28) et surtout longent, sur le flanc ouest, les terrasses du Rhin, où elles forment le ried noir (15). Le paysan les strie de fossés pour en faire des prairies prisées pour leur fourrage en été. Les secteurs les plus humides où le gley affleure (13, 28) restent cependant des bois au cœur desquels se cache souvent un étang aménagé pour la pêche qui peut dater du haut moyen âge.
Tout ce paysage s’organise donc entre des forêts, des prairies marécageuses striées de fossés et de vastes plaines striées de champs en lanière entrecoupées par les écrans boisés des ruisseaux qui s’écoulent vers le nord.

Trois familles de roches et d’eaux
Au contact du piémont des Vosges alternent des forêts et des plaines cultivées. Les cônes de déjection des vallées vosgiennes se succèdent, formant une plage de cailloutis et graviers acides : Bruche, Andlau, Giessen, Fecht, Lauch, Thur, Doller. La forêt recouvre les secteurs où la nappe vosgienne est résurgente (27) ; la plaine céréalière domine là où ce cailloutis a été recouvert de limons par les vents interglaciaires ou par des crues. Ces cônes de déjection à la porte des vallées sont très urbanisés aujourd’hui : Thann, Guebwiller, Colmar et Mutzig, et dans une moindre mesure Kaysersberg, Andlau. Ces villes s’organisent autour d’un maillage de canaux, célèbre à Colmar, qui à la fois évacuent l’eau et alimentaient autrefois moulins et ateliers.
Dans le large secteur d’influence de l’Ill, l’acidité des sols est souvent favorable, oscillant entre des lambeaux de limons éoliens carbonatés et des dépôts d’alluvions décarbonatés.
Dans le secteur rhénan, les galets et les alluvions alpins génèrent des sols sont plus franchement calcaires reconnaissables aux lisières de clématite et de cerisier à grappes.
Les deux rivières mêlent leurs eaux à l’aval de Colmar et dans tout le « landgraben » réputé pour séparer les deux départements alsaciens. Le ried gris s’élargit et vient en contact du ried noir qui court jusqu’à Sélestat. A l’ouest d’Erstein, le Bruch de l’Andlau comprend une partie sableuse acide au sud, déposée par le Giessen et la Scheer, et une partie limoneuse souvent calcaire au nord, provenant de l’Ehn et de l’Andlau.

Les mutations depuis la domestication du Rhin
Des digues de hautes eaux sont édifiées dès le moyen âge à proximité des villages, et ont été progressivement renforcées. Elles ont renforcé les dépôts alluviaux dans la partie non protégée.
Fin 19e siècle, pendant la période prussienne, la betterave s’implante à proximité de la sucrerie d’Erstein. Les premiers endiguements de Tulla assinissent les rieds (14), les limons inondables (11, 12) et les méandres du Rhin (8) qui basculent vers une grande plaine de maïs irrigué.
A-partir des années 1950-60, beaucoup des dernières forêts sont défrichées, les marais sont drainés, l’ensemble est doté de puits et de motopompes. Les conséquences de la canalisation du Rhin ont ainsi revalorisé la plaine mais paradoxalement, l’Alsace ne s’est pas pour autant rapprochée du Rhin. Les digues tournent le dos à la plaine et au chapelet de villages historiques des terrasses du fleuve.
Longtemps contrainte par les variations continuelles d’épaisseur, de granulométrie, d’acidité de ses alluvions, le paysage de la plaine est souvent devenu un immense champ de maïs irrigué. Restent des secteurs toujours inondables, en particulier sur le chemin de l’Ill qui était là avant le Rhin et reste là après lui. La barrière boisée de ses zones humides continue de séparer le piémont du secteur rhénan depuis Colmar jusqu’à Erstein : le ried gris, le sud du bruch de l’Andlau. L’ensemble de la plaine reste également jalonné de forêts sur les terres les plus ingrates et de rideaux boisés courant le long des ruisseaux, derniers vestiges de la forêt alluviale originelle.

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Plusieurs gravières et sablières exploitent les épaisses couches alluvionnaires de l’Ill et de ses affluents. Hettenschlag

  Agriculture

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Plaine et Rieds carte agriculture
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Plaine et Rieds bloc-diagramme agriculture
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La Plaine forme une large bande de terre d’une grande fertilité et permet des cultures très variées. C’est la région type de polyculture. On y cultive des céréales et des productions emblématiques de l’Alsace (chou à choucroute, tabac, betteraves …). Les productions bovines y sont également présentes.
Les tendances actuelles sont à la réduction des prairies et de l’élevage, et à l’augmentation des cultures céréalières et surtout du maïs. Le maïs est particulièrement bien adapté aux conditions régionales de climat et de sol. Il valorise fortement les possibilités d’irrigation offertes par l’abondance et l’accessibilité de la nappe phréatique de la plaine d’Alsace.

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La plaine forme un vaste damier agricole où domine la culture du maïs irrigué (qui est ensemencé sur les terres encores nues lors de la prise de vue). Grussenheim

  Forêt

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Plaine et Rieds carte forêt
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Plaine et Rieds bloc-diagramme arbre
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La Plaine présente un taux de boisement relativement faible (15%) et ses surfaces boisées tendent à régresser. Les peuplements sont essentiellement feuillus, dominés par le chêne et le frêne. La propriété forestière est très majoritairement communale. Quelques bois présentent des surfaces importantes, mais la forêt de la Plaine est essentiellement composée d’un assemblage de petits bois et de bosquets qui se concentrent dans les rieds et se raréfient dans les parties sèches de la Plaine.

La forêt du Ried brun
Très réduite, la forêt du Ried brun ne subsiste plus que sous forme de quelques lambeaux de Chênaie-Charmaie sèche souvent transformée en Robinieraie. Les inondations sont rares, car cette formation est située sur les terrasses et les zones exhaussées. La plupart des arbres ne supportent pas l’ennoiement racinaire.

Les forêts des Rieds gris et brun gris
Les forêts du Ried gris, liées aux inondations de l’III, sont de deux types : la Chênaie-Frênaie-Ormaie alluviale, dans les parties inondées une à deux fois par hiver, et une Chênaie-Charmaie à Aulne glutineux dans les zones moins fréquemment inondées. Ces forêts se trouvent également dans les parties moins humides des Rieds noirs.
De forte productivité, la Chênaie-Frênaie-Ormaie est aussi la forêt la plus riche en espèces animales et végétales des Rieds. Les massifs les plus importants sont l’IIlwald près de Sélestat et le Niederwald près de Colmar. Elle nécessite une eau bien oxygénée et des inondations périodiques, par l’III essentiellement. Les sols, argileux et hydromorphes, comprennent un horizon à gley réduit. Ils sont riches, bien alimentés en eau, mais non marécageux.
La Chênaie-Charmaie alluviale à Aulne glutineux, occupant les parties les plus hautes des terrasses, est très rarement inondée. Cependant la nappe phréatique est proche, ce qui permet à l’Aulne, en particulier, de se maintenir. C’est le cas par exemple de la forêt d’Osthouse et de celles situées au sud de Benfeld. Il se crée ainsi un type forestier original, qui associe le Charme, espèce des terrains relativement secs, à l’Aulne, hygrophyte notoire.

Les forêts du Ried noir
L’Aulnaie marécageuse (ou Bruchwald) et l’Aulnaie-Frênaie caractérisent les parties les plus humides des Rieds, par exemple celles des Rieds de la Blind et de la Zembs. Elles occupent les dépressions où affleure une nappe d’eau permanente. Le sol est saisonnièrement engorgé, voire marécageux, ce qui entraîne des conditions asphyxiantes pour les plantes. C’est un sol tourbeux ou un anmoor, avec un horizon à gley. En surface, une tourbe noire de quelques décimètres d’épaisseur est constituée par une accumulation de matière organique très fortement humifiée. L’Aulne glutineux est dominant, avec le Merisier à grappes, le Frêne et l’Aulne gris.

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Les boisements de la plaine sont liés aux surfaces humides des rieds. Les surfaces boisées tendent à régresser avec l’extension des cultures de maïs dans les terrains les plus favorables des rieds. Les peuplements sont essentiellement feuillus. Riedwihr

  Urbanisme

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Plaine et Rieds carte urbanisation
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Plaine et Rieds bloc-diagramme urba
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La plaine offre une implantation urbaine assez contrastée
Partout dans la plaine, les implantations urbaines ont privilégié les secteurs les plus élevés, où l’inondation se faisait rare et où la terre pouvait être cultivée. Pour autant depuis longtemps les rieds (à l’exception du ried noir) furent des terroirs recherchés et des villages se sont implantés à proximité de ces terres malgré le risque plus important d’inondation.

A l’ouest, de grands pôles urbains accrochés au Piémont
Colmar, Sélestat, Molsheim constituent des pôles urbains majeurs implantés à l’articulation de trois territoires : la plaine, le piémont viticole et les vallées vosgiennes. Ces villes sont reliées depuis longtemps par des voies anciennes ayant évité la traversée de la plaine humide. Aujourd’hui dans la même logique, la frange ouest de la plaine accueille les axes structurant de l’A35 et de la voie ferrée.

Dans le ried, des villages implantés en limite des secteurs humides
À l’exception de quelques villages implantés au bord de l’Ill (Ebersmunster, Illhauersern) et de rares fermes isolées (Riethof), il n’y a pas d’installations humaines permanentes dans les parties les plus basses du ried. Sur les zones un peu plus élevées et sur les petites terrasses du Ried brun, les cultures sont largement développées et les paysages deviennent très ouverts. C’est là, souvent à la limite même du Ried brun agricole et de zones humides propres aux activités d’élevage, que les villages se sont développés, ceinturés le plus souvent par un cordon de vergers.

Au centre, l’axe de la RD1083
Le plat pays d’Erstein permet de relier au sec Selestat à Strasbourg. Sur ce plateau de bonne terre les implantations urbaines sont denses. Les villages très serrés se sont fortement développés jusqu’à former une conurbation étirée le long de la RD 1083 et de la voie ferrée.

La vallée de la Bruche
Dans la vallée de la Bruche les villages se sont implantés sur le flanc de la terrasse du Kochersberg au nord et au pied des terrasses du Gloeckelsberg au sud, en dehors du fond de vallée humide. La RD 392 dessert, à intervalles réguliers, les villages du versant sud de la basse vallée. Les villages du nord de la vallée sont reliés par des voies transversales (D127, D147, D11), le long desquelles de vastes zones d’activités se sont implantées à proximité de la voie de chemin de fer.

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Les villages se sont implantés sur les terrains secs de la Plaine, formant des chapelets reliés par un axe routier principal. Grussenheim (premier plan), Ohnenheim, Elsenheim et Heidolsheim.

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Site mis à jour le 16 février 2015
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