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Dynamiques et enjeux paysagers du Piémont Viticole

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27 août 2014

  DYNAMIQUES PAYSAGERES DU PIEMONT VITICOLE

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Piémont Viticole minute de la Carte d’Etat-major 1830
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Piémont Viticole photo aérienne IGN 1951
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Piémont Viticole photo aérienne IGN 2012

Une apparente permanence du paysage du piémont

La permanence des contrastes paysagers extrêmement forts du Piémont Viticole avec les contreforts boisés des Vosges et la plaine cultivée tend à atténuer les évolutions paysagères du piémont. Mais sous cette apparente stabilité, le paysage du piémont a considérablement évolué.

Le vignoble a beaucoup varié, passant de 30 000 ha lors de son extension maximale au XIXe siècle jusqu’à 9000 ha dans les années 1950 pour atteindre aujourd’hui environ 16000 ha au sein de l’aire d’appellation AOC. La comparaison des cartes montre bien cette évolution : une diffusion maximale des vignes y compris dans les vallées vosgiennes sur la carte d’état-major de 1830 ; un parcellaire de vigne en forte régression sur la photo aérienne de 1950 (reflux de la vigne sur les terrains trop pentus et mal exposés, nombreuses parcelles de verger ou de culture au sein des vignes) ; enfin un vignoble formant une vaste nappe homogène et continue sur la photo aérienne de 2012. Malgré ces fortes évolutions le vignoble parait presque inchangé car il a n’a pas été remembré et a conservé son petit parcellaire, ce qui n’est pas le cas dans la plaine.
Les prairies ont elles globalement régressé subissant les dynamiques croisées de la vigne, de l’urbanisme et des cultures de la plaine

Une extension urbaine importante mais contrastée

Paysage attractif, économiquement dynamique et bien relié par de nombreuses voies de communication, le Piémont Viticole a connu une forte extension urbaine. Par ailleurs, l’attractivité de ce territoire a généré un important développement du tissu artisanal et industriel qui a contribué à l’évolution urbaine depuis plusieurs décennies : à l’activité viticole (élément identitaire) s’ajoute un paysage industriel qui impacte fortement les silhouettes urbaines.
La comparaison des cartes et photos aériennes révèle cette évolution urbaine importante que l’on retrouve dans l’ensemble du vignoble. Ainsi la ville de Barr a explosé son enveloppe urbaine originelle, s’étendant largement sur les anciennes prairies du fond de vallée et sur le vignoble. Cette extension limitée dans un premier temps jusqu’à la voie ferrée, forme aujourd’hui une conurbation avec Gertwiller. Certains nouveaux quartiers se retrouvent très éloignés du centre-bourg : Bodenfeld construit dans la plaine en dehors des vignes où Zimmerberg construit sur la pente des premiers contreforts vosgiens. Il en va de même, mais à une toute autre échelle, pour Andlau qui forme maintenant une conurbation avec Eichhoffen.
A l’opposé, le village de Mittelbergheim à très peu évolué, préservant sa structure en croix de village carrefour. Plusieurs villages du vignoble ont ainsi échappé aux fortes extensions bâties de l’après-guerre.

Des axes de communication nord/sud qui orientent la dynamique urbaine

Le Piémont Viticole s’est vu fortement structuré par l’arrivée successive de plusieurs axes de communication Nord-Sud. La voie ferrée a ainsi contribué à commercialisation du vin et a favorisé un développement urbain à proximité des gares. Plus récemment l’autoroute A35 qui longe le piémont de Cernay à Molsheim, constitue un axe de découverte rapide du paysage du nord au sud.

Des extensions urbaines dans les villages suivant un axe de développement dominant

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A Balbronn, en situation d’entrée de village, les constructions pavillonnaires s’installent le long de la voie principale.

Les villages du Piémont Viticole sont inégalement impactés par les extensions urbaines depuis le milieu du XXe siècle, soit qu’il s’agisse de secteurs peu accessibles depuis les infrastructures ou bien que la vigne résiste plus qu’ailleurs à la pression de l’urbanisation. Dans ces divers types de développement, les contraintes topographiques et agronomiques et le réseau routier ont orienté en général l’extension.
Plus récemment les extensions urbaines se réalisent à l’extérieur du noyau de base du village, le long des routes existantes, suivant les opportunités foncières. Ce type de développement associe un morcellement important des exploitations agricoles et un déplacement de la limite urbaine des villages, repoussée toujours plus loin le long de la route. La rupture nette entre le milieu agricole et le tissu urbain qui prévalait dans l’organisation originelle des villages est mise à mal par l’éparpillement et la généralisation de la construction pavillonnaire sur d’anciennes parcelles agricoles.

Un développement urbain groupé sous forme de lotissements

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Opérations de lotissements sur la commune de Dambach-la-Ville. La généralisation de ces lotissements entraîne une perte de la lisibilité des centres urbains et la diffusion d’un modèle urbain au détriment des surfaces agricoles.

Cependant, au débouché des vallées vosgiennes ou bien à proximité des principales infrastructures de transport, les villages connaissent un important développement urbain sous forme de lotissements résidentiels composés de maisons individuelles isolées sur leurs parcelles.
Ce développement, qui nécessite une importante emprise foncière, prend place dans des secteurs à l’extérieur du noyau historique au cœur du vignoble ou bien autour du centre bourg en entrée de village. De nouvelles rues et voies de desserte sont alors créées, permettant le découpage de nouvelles parcelles construites dont l’orientation et le dimensionnement ont peu de rapport avec le centre bourg.

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La banalisation des modèles architecturaux et les implantations déconnectées des logiques d’implantations du centre bourgs, altèrent la valeur patrimoniale des villages. Husseren-les-Châteaux

Les extensions pavillonnaires bouleversent la silhouette du village et mettent en péril sa valeur patrimoniale. Ici, à Husseren-les-Châteaux, les extensions urbaines ont investi le piémont en amont et en aval du cœur de bourg. Ces nouvelles pièces urbaines ne valorisent pas la qualité du site (implantation sur talus, faible densité, diversité des orientations, des volumes, des couleurs, des matériaux de toiture) : l’architecture des maisons s’impose et nuit à la compréhension paysagère du site.

  ENJEUX PAYSAGERS DU PIEMONT VITICOLE

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Piémont viticole bloc-diagramme des enjeux paysagers

Maintenir une diversité paysagère dans le vignoble

Le vignoble peut à première vue, compte tenu de son étendue et de l’effet visuel très graphique des rangs des vignes, sembler relativement uniforme. On remarque cependant de loin de petites parcelles de vergers, des arbres isolés, des murets ou encore un réseau de chemins. Le vignoble possède ainsi une certaine diversité, qui se révèle petit à petit, au fil des parcours dans une découverte de proximité. Tous ces éléments constituent une richesse importante à soigner et maintenir pour animer les vignes et enrichir leur découverte. La diversité se traduit aussi par endroit par un parcellaire plus petit sur les reliefs, qui joue avec l’orientation des rangs de vignes, perpendiculaires ou parallèles à la pente. La taille des parcelles et leur orientation par rapport au relief ont un impact visuel non négligeable. Dans les secteurs pentus, les anciens murs de soutènement en pierre, sont parfois remplacés par des murs en béton brut, techniquement efficaces mais dont l’aspect pose question dans le paysage. De même les divers aménagements hydrauliques utiles pour diminuer l’impact de l’érosion des eaux d’orage, doivent être étudiés dans le souci de leur intégration paysagère. Les murs de soutènement en pierre, les arbres fruitiers, les calvaires, les chemins intégrés au relief qui apportent une diversité et un charme à ces lieux, méritent une attention particulière. L’enjeu pour vignoble est de conserver et promouvoir un paysage diversifié, formant l’écrin des villages et l’image de marque des domaines de production viticole.

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Maintenir une diversité paysagère dans le vignoble

Quelques pistes d’actions envisageables
- Conserver une diversité au sein des parcelles (prairie, vergers, bosquets).
- Renouveler les arbres isolés vieillissants.
- Encourager la plantation d’arbres ou de vergers intercalés entre les parcelles de vignes
- Préserver le petit parcellaire. Eviter les regroupements trop importants de parcelles.
- Mettre en valeur les chemins à travers le vignoble. Eviter les revêtements de sol imperméabilisants.
- Soigner les systèmes de soutènements des terres (muret en pierre).
- Favoriser l’insertion paysagère des ouvrages hydrauliques. Privilégier les techniques qui favorisent l’infiltration des eaux de ruissellement.

Mettre en valeur les situations en belvédère

Le Piémont Viticole forme une formidable marche entre les Vosges et la Plaine, qui offre de nombreuses vues en belvédère. C’est également un paysage qui se donne à voir depuis l’extérieur. Il est donc très sensible car bien perceptible. Certains lieux comme le Mont Saint-Odile ou le château du Haut-Koenigsbourg illustrent avec force cette notion de belvédère, avec des vues lointaines révélant le graphisme des vignes, ponctuées de villages denses et circonscris. Ces vastes panoramas aux vues plongeantes, révèlent ainsi de nombreux aspects du territoire, éclairant les paysages d’une vision géographique. Des covisibilités renouvelées apparaissent au fil des routes, entre les villages, ou depuis les pentes au gré des chemins. Cela doit inciter à maîtriser la gestion du paysage ainsi découvert. La qualité des vues dépend aussi d’un aménagement soigné des premiers plans et des abords immédiats du point de vue.

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Mettre en valeur les situations en belvédère

Quelques pistes d’actions envisageables
- Conserver et valoriser les chemins agricoles communaux, véritables faire-valoir des vues.
- Aménager des belvédères pour profiter du paysage : parcelles de vergers, bande d’arrêt le long des routes …
- Aménager des circuits de découverte.
- Mettre en valeur les tracés reliant les coteaux aux villages.
- Signaler les entrées de chemin depuis les routes, par un arbre par exemple.
- Accompagner le cheminement par des plantations, de fruitiers par exemple.
- Maitriser les silhouettes des villages visibles de loin.
- Soigner les itinéraires routiers menant aux lieux de visites (châteaux, édifices religieux) et aménager simplement les aires d’accueil ou de stationnement.

Maîtriser la gestion forestière du coteau

Le relief du Piémont Viticole forme une toile de fond forestière très visible depuis la Plaine. Sa gestion et son étendue participe donc à la qualité du paysage. Il forme l’écrin du vignoble. L’équilibre entre espaces ouverts et forestiers, l’absence de contraste brutal qui viendrait brouiller la hiérarchie des formes du paysage, la diversité des transitions entre peuplements forestiers, des lisières variées et entretenues, sont autant d’éléments qui permettent d’obtenir des versants attractifs. La gestion des boisements ou des parcelles non viticoles qui arrivent au contact des villages joue un grand rôle paysager : composition des boisements, facture des lisières, présence des prairies, contact avec les villages et les vignes… La reconquête de parcelles boisées ou enfrichées peut devenir localement un enjeu de cadre de vie pour certains villages.

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Maîtriser la gestion forestière du coteau

Quelques pistes d’actions envisageables
- Privilégier des boisements feuillus ou mixtes sur les versants les plus visibles.
- Eviter un mitage du manteau forestier suite aux coupes à blanc suivies d’un enrésinement.
- Ne pas pratiquer les coupes de régénération sur des surfaces géométriques calées sur le parcellaire : privilégier des plages d’intervention dont les limites épousent les formes des versants.
- Maintenir des lisières forestières de qualité le long des chemins et des routes.
- Avoir une grande vigilance pour toute intervention sur les crêtes qui sont très visibles.
- Gérer les abords des boisements pour éviter les friches qui descendent trop bas sur le coteau.
- Rouvrir les parcelles boisées ou enfrichées qui descendent au contact des villages.

Maitriser les extensions urbaines

Dans ce paysage emblématique de l’Alsace, la composition des villages avec les vignes et le coteau boisé revêt une grande importance. L’étendue des vignes contraste avec la densité des villages, bien délimités. Les villages et bourgs du Piémont Viticole sont perceptibles de loin dans leur globalité. Leur forme originelle (accrochée au relief ou étirée le long d’un vallon) reste bien identifiable. Mais certains, et notamment les bourgs au niveau du débouché des vallées vosgiennes ont connu un fort accroissement allant jusqu’à doubler leur surface. L’accumulation des extensions urbaines (activités, lotissements) créé par endroits, une perte de lisibilité et de repères, mais aussi génère des limites de la ville peu définies. Concernant les villages sur le relief, des extensions bâties mal positionnées peuvent altérer la lisibilité de la silhouette du bourg. Le clocher n’est plus l’élément bâti dominant, les constructions ayant dans certains cas gagné en hauteur sur les reliefs. La particularité du site initial d’implantation (relief, rivière, carrefour, site défensif…) mérite d’être mise en valeur pour que chaque bourg puisse continuer d’affirmer sa propre identité. L’adéquation des nouveaux quartiers avec le site constitue un enjeu majeur à prendre en compte pour conserver une harmonie, garante d’une qualité paysagère des lieux. Une vigilance particulière s’impose à la limite du vignoble et de la Plaine, où se sont édifiées des constructions qui ne pouvaient s’implanter dans les vignes. Ces constructions peuvent avoir un fort impact sur les vues depuis et vers le coteau. Elles composent également la nouvelle façade des bourgs depuis l’autoroute. Leur conception mérite donc d’être étudiée finement afin de préserver la qualité du paysage emblématique du Piémont Viticole.

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Maitriser les extensions urbaines

Quelques pistes d’actions envisageables
- Prendre en compte les logiques d’implantation du bourg dans son site, valoriser les éléments qui donnent au bourg son côté unique.
- Préserver la silhouette groupée des villages. Harmoniser le développement en fonction du relief.
- Agrandir le bourg en prolongeant la logique de son plan de composition.
- Prôner un développement durable et économe de l’espace dans les documents d’urbanisme.
- Se développer autrement que par l’étalement urbain. Redynamiser l’habitat en centre bourg.
- Respecter la hiérarchie des masses bâties et du clocher. Eviter les juxtapositions ou les vis-à-vis malencontreux pour les constructions ou les zones de développement.
- Etre vigilant sur l’emplacement, les volumes et les couleurs des nouvelles habitations.
- S’inspirer du bâti existant et favoriser l’alignement des façades ou des pignons et la mitoyenneté qui font le charme des centre-bourgs ruraux.
- Veiller à l’impact paysager des bâtiments d’activité dans et en périphérie du vignoble (volume, couleur, intégration, plantations).
- Recomposer les périphéries urbaines des vastes secteurs d’extensions au débouché des vallées vosgiennes. Soigner les façades des bourgs le long de l’A 35.

Mettre en valeur les espaces publics / Affirmer les entrées

Les espaces publics des villages du Piémont Viticole offrent déjà pour la plupart une certaine qualité : rues et places pavées, place aménagée simplement, choix de matériaux adéquats… Mais l’effort reste à poursuivre sur l’ensemble du piémont. Cette mise en valeur soignée est également un faire-valoir important de ces villages viticoles très visités. Les espaces publics sont des points stratégiques à valoriser pour conserver le cachet du bourg et sa convivialité. Les aménagements doivent conserver une simplicité pour conserver l’harmonie et le charme des villages. La valorisation du passage de l’eau qui a structuré de nombreux villages est également à considérer pour guider l’aménagement des espaces publics.
Les entrées et les traversées des nouveaux quartiers sont par contre souvent à améliorer pour valoriser le cadre de vie des habitants et parfaire l’image des villages. La transition de la route à la rue devrait être bien perceptible. Cela est particulièrement important pour les bourgs qui se sont étalés au débouché des vallées vosgiennes. Les limites y sont peu franches en raison du large étalement urbain. L’aménagement de la rue doit prendre un caractère plus urbain ou villageois et abandonner le langage routier.

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Mettre en valeur les espaces publics

Quelques pistes d’actions envisageables
- Aménager les entrées de bourg avec simplicité pour marquer la transition de la route à la rue.
- Utiliser les alignements d’arbres pour structurer l’espace des entrées.
- Valoriser les abords des cours d’eau et des fontaines dans les villages et les bourgs.
- Trouver un vocabulaire simple mais de qualité pour les aménagements des espaces publics.
- Soigner les périphéries des villages : plantations, chemin de tour de village, tour des fortifications, abords du cimetière. Préserver un maillage de chemins en périphérie des villages.
- Mettre en valeur les places. Trouver un équilibre entre stationnement et convivialité des espaces publics.
- Prévoir dans toutes extensions urbaines des espaces publics structurants de qualité.
- Privilégier l’utilisation de matériaux locaux dans les aménagements.

  REPERES BIBLIOGRAPHIQUES

Paysages
- Référentiel paysager du Bas-Rhin, Secteur Piémont viticole. 2011- ADEUS - Conseil général du Bas Rhin
- Plan de Paysage de la Région de Guebwiller. 2002 – PNRBV
- Paysages du Piémont Vosgien. 2001- DESS « Dynamiques des paysages et organisation des espaces ruraux »
- Plan de paysage du Piémont des Vosges. - Conseil général du Bas Rhin, DDT du Bas Rhin
- Plan de paysage d’Ammerschwihr. 1998 - ADAUHR, Com. de Com. de la vallée de Kaysersberg
- Plan de paysage de Katzenthal. 1998 - ADAUHR, Com. de Com. de la vallée de Kaysersberg
- Plan de paysage de Kaysersberg. 1998 - ADAUHR, Com. de Com. de la vallée de Kaysersberg
- Plan de paysage de Kientzheim. 1998 - ADAUHR, Com. de Com. de la vallée de Kaysersberg
- Plans de paysage des communes viticoles, Synthèse. 1998 - ADAUHR, Com. de Com. de la vallée de Kaysersberg
- Etude préalable 1% paysage et développement, Piémont des Vosges. 1995 - DDT du Bas Rhin
- Etude paysagère du Haut-Rhin. 1991 - DAT Conseils, J. Sgard, D. Jarvis, Terra Plan- DREAL Alsace
- Le paysage du Vignoble alsacien. 1982 – Région Alsace, Ministère de l’environnement, Ministère de l’urbanisme et du logement

Géographie
- Les milieux forestiers des collines sous-vosgiennes est (partie Bas-rhinoise). 1998- CRPF Alsace, ONF, Région Alsace
- L’Alsace et les Vosges. Géologie, milieux naturels, flore et faune. 1998 -Yves Sell- ed. Delachaux et Niestlé
- Les unités de paysages et les sols du vignoble alsacien. 1990 – GIE sols Conseil, ARRA, INAO, INRA

Urbanisme et architecture
- Le paysage du Vignoble alsacien. 1982 – Région Alsace, Ministère de l’environnement, Ministère de l’urbanisme et du logement
- Alsace, l’architecture rurale française. Ouvrage de Marie-Noëlle Denis et Marie-Claude Groshens. Editions A Die. 1999
- Site Internet : Alsace, la maison alsacienne : www.encyclopedie.bseditions....

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Site mis à jour le 16 février 2015
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