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Représentations et images de l’Agglomération Strasbourgeoise

Strasbourg, ville millénaire et patrimoniale, est depuis plusieurs siècles un sujet de paysage. La cathédrale, métonymie à la fois de la ville, de l’Alsace toute entière et même, dans les périodes de guerre, de la Nation française, est sans conteste, l’emblème des paysages urbains de Strasbourg, le repère identitaire de l’agglomération et, au-delà, de la plaine.
Aujourd’hui encore, la ville ancienne (cathédrale, Petite France, rues de la Grande île…) produit toujours et sans surprise de nombreuses images. Aussi, ici comme ailleurs, les profondes transformations qui depuis les années 1950 ont affecté la physionomie et la silhouette générale de la ville et de son agglomération sont, sauf exceptions, ignorées des représentations. Ici comme ailleurs, les espaces périurbains, notamment ceux dont les qualités paysagères sont indéniables et appréciées, manquent de visibilité.

Strasbourg, ville patrimoniale, un sujet en soi

Quels que soient les éditeurs, les guides touristiques consacrés à l’Alsace ne manquent jamais d’ouvrir leur sommaire sur Strasbourg, destination phare de la région. Mais la cité alsacienne est aussi un sujet en soi méritant à lui seul qu’on lui consacre un ouvrage. Aussi, les paysages urbains patrimoniaux de la capitale alsacienne sont-ils largement diffusés et identifiés, d’autant plus que le centre historique, la Grande île, est classé depuis 1988 au Patrimoine mondial de l’Humanité par l’Unesco.

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Couvertures de guides et de beaux livres sur Strasbourg

Strasbourg est un sujet en soi pour les guides touristiques et les beaux livres. Leurs couvertures y mettent majoritairement en avant le caractère patrimonial des paysages où la cathédrale tient son rôle de motif « incontournable ». Les paysages contemporains de la ville sont illustrés par l’immeuble du parlement européen (guide Michelin) et le port (le Petit Futé). Le tramway est également devenu identitaire des paysages de la ville.

Une flèche qui s’élève au-dessus de la plaine

La silhouette de la ville, souvent réduite à celle de sa cathédrale dont la flèche gothique s’élève fièrement au-dessus de la plaine d’Alsace, est un mode de représentation constant à travers le temps de Strasbourg.

« Ces spectacles inachevés ont peut-être plus de prestige encore que les autres. Ce sont des rêves qu’on touche et qu’on regarde. Je savais que j’avais sous les yeux la France, l’Allemagne et la Suisse, Strasbourg avec sa flèche, la Forêt-Noire avec ses montagnes, le Rhin avec ses détours ; je cherchais tout, je supposais tout, et je ne voyais rien. Je n’ai jamais éprouvé de sensation plus extraordinaire […]. Tout à coup, à un tournant de la route, une brume s’est enlevée, et j’ai aperçu le Munster. Il était six heures du matin. L’énorme cathédrale, le sommet le plus haut qu’ait bâti la main de l’homme après la grande pyramide, se dessinait nettement sur un fond de montagnes sombres d’une forme magnifique, dans lesquelles le soleil baignait çà et là de larges vallées. L’œuvre de Dieu faite pour les hommes, l’œuvre des hommes faite pour Dieu, la montagne et la cathédrale, luttaient de grandeur. Je n’ai jamais rien vu de si imposant. »

Victor Hugo, Le Rhin,1842 [1]

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Strasbourg, Vue générale, vers 1750
Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg

La ville enserrée dans ses remparts, ses multiples clochers qui dominent la plaine et se détachent sur l’horizon des contreforts vosgiens ou de la forêt Noire constituent une représentation classique et ancienne de Strasbourg. En cela elle ne se démarque pas des représentations des autres cités alsaciennes. Mais à Strasbourg, l’architecture et l’élancement de la flèche de la cathédrale gothique créent une relation particulière, quasi-fantastique avec le site de la ville.

La ville représentée dans son site

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Plan-relief de la ville de Strasbourg à l’échelle 1/600, 72,22 m2, 1830-1836, actualisé entre 1852 et 1863 et détail
(C) RMN-Grand Palais / René-Gabriel Ojéda

Petit frère du plan relief présenté à Strasbourg et réalisé en 1735, cette maquette de plus de 72 m2 présente l’état de la ville au début de la seconde moitié du XIXe siècle. Une figuration exceptionnelle qui crée une représentation très réaliste.

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Vue générale de Strasbourg (Bas-Rhin), in : L’Univers illustré, XIXe siècle
Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg

Le dessinateur, qui s’est inspiré d’une photographie aérienne d’époque, a inscrit le paysage de la ville dans son champ géographique : la plaine que la cathédrale domine, à l’horizon le fil de lumière du Rhin et les reliefs de la Forêt Noire. La ville elle-même est montrée insérée, enlacée et circonscrite par les bras de l’Ill.

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Gustave Doré, Entre ciel et terre, 1862
Belfort, collection musées de Belfort, Musée d’Art et d’Histoire, Belfort





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Strasbourg, l’Alsace, la France, vers 1900
Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg

Strasbourg, par sa position frontalière et son histoire est souvent support de fantaisies ou d’allégories. C’est le cas dans ces deux images. A gauche, survolant l’horizon de Strasbourg comme nimbé de brumes, la cigogne mangera-t-elle la grenouille que les habitants de la ville ont pour divertissement d’attacher à des cerfs-volants ? A droite, la ville, symbolisée par sa cathédrale, insérée dans ses remparts, est représentée comme le symbole de la culture humaniste (les livres) et de la France dont la grandeur rayonne sur les sommets des Vosges coiffés de leurs châteaux médiévaux.

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Page d’accueil du site Internet de l’office de tourisme de Strasbourg
Office de tourisme de la ville de Strasbourg

La page d’accueil du site Internet de l’office de tourisme de Strasbourg reprend l’iconographie ancienne et classique de Strasbourg : la cathédrale, métonymie de la ville, se détache sur l’horizon de la plaine. La photo, prise de nuit, ne laisse qu’apparaître furtivement les constructions modernes qui composent pourtant aujourd’hui la silhouette de la cité alsacienne. Les photos en vignettes qui se succèdent en diaporama dans leur cadre évoquent surtout les quartiers historiques, mais aussi quelques éléments plus contemporains , comme ici le tramway évoquant des espaces et des paysages possibles en dehors de la Grande Ile.

Dans les bras de l’Ill

Les vues anciennes et contemporaines rendent comptent de l’importance de la présence de l’eau et de l’Ill dans la composition des paysages de Strasbourg. Même si les photographes d’aujourd’hui semblent vouloir mettre en valeur davantage les ambiances par des cadres plus resserrés et des plans plus rapprochés.

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Cartes postales anciennes
Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg

Par des plans moyens, les photographes des cartes postales du début du XXe siècle offrent le spectacle d’une ville structurée par la rivière et magnifiée par son architecture.

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Photos extraites de la rubrique d’album photo de « Petite France et ponts couverts », de l’office de tourisme de Strasbourg
Office de tourisme de Strasbourg

Les paysages urbains des bords de l’Ill sont toujours autant valorisés par les photographies contemporaines, mais dans des plans généralement plus rapprochés et rendant compte davantage d’ambiances propices à la promenade.

La cathédrale, motif intra muros et belvédère

La cathédrale, composante identitaire du paysage de la plaine est également un motif indépassable des paysages intérieurs à la ville. Mais, elle offre aussi, du haut de ses tours, des panoramas exceptionnels sur l’Alsace.

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Strasbourg, la cathédrale
La cathédrale de Strasbourg, motif principal des paysages intérieurs de Strasbourg.
A gauche, L. Greiner, Foire-exposition, Strasbourg du 5 au 20 septembre 1931
A droite, Chemins de fer d’Alsace et de Lorraine, Strasbourg, sd

« Nous ne pûmes résister à une provocation aussi gracieuse (…), et d’un commun accord nous nous acheminâmes à grands pas vers la sainte cathédrale ; dix minutes après nous escaladions les degrés qui conduisent à la grande plate-forme.
Le spectacle ravissant qui s’offrit à nos yeux nous récompensa avec usure de notre retour à la raison… Nos regards attirés dès l’abord au-delà du Rhin et vers les monts boisés de la Souabe, s’égarèrent avec enchantement à travers les montagnes ondulées du grand-duché… Un long nuage blanc qui tourbillonnait et serpentait à nos pied nous ramena vers la ville, et nous indiqua le fleuve que nous cherchions en vain à perte de vue, et qui, dans ce moment nous parut prosterné autour du géant religieux, dont, après avoir gravi trois cent cinquante marches, nous avions à peine atteint la ceinture… Le silence qui planait avec nous au-dessus de cette réunion si étrange de fleuves, de montagnes, de forêts et d’habitations humaines, nous pénétra d’un recueillement profond. Et l’un de nous, vieux savant de trente ans, qui avait été partout notre providence, nous raconta l’histoire pleine d’événements de la ville impériale qui gisait à ce moment toute calme et toute endormie à nos pieds.
 »

Th. De Morville de Rouvrois, Voyage pittoresque en Alsace, par le chemin de fer de Strasbourg à Bâle, 1844

« La montée sur la plate-forme (332 marches) est une expérience saisissante. L’escalier en colimaçon vous fait pénétrer au cœur de l’édifice et découvrir des vues inédites. Le panorama au sommet de la plateforme est extraordinaire. On domine les toits de Strasbourg et la vue s’étend par beau temps jusqu’aux Vosges et à la Forêt-Noire (en Allemagne). »

Tourisme-Alsace.com, 2014

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La ville et l’Alsace vues d’en haut, panoramas depuis la plate-forme de la cathédrale de Strasbourg
A gauche, Brockedon et W.Davies S.T., (ill.), Mountains of the Ban de la Roche, from the cathedral of Strasbourg, 1837
A droite, carte postale, 1919
Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg

Deux images anciennes qui mettent en scène le regard sur le paysage de la ville et ses horizons lointains. Aujourd’hui, si le belvédère de la cathédrale est promu par les différents guides de la ville, aucune image ne montre les panoramas qu’il offre sur le paysage.

Le Rhin : ponts et port

De nombreux voyageurs du XIXe siècle notent la difficulté de s’approcher du fleuve à partir de Strasbourg. En effet, peu d’images témoignent de sa proximité avec la ville, encore moins aujourd’hui qu’hier. Une exception dans les images anciennes est la représentation du pont de chemin de fer de Kehl qui, en enjambant le fleuve, traverse aussi la frontière.

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Berger-Levrault, (lithogr), Pont du chemin de fer sur le Rhin entre Strasbourg et Kehl, 1850
Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg

Le pont neuf du chemin de fer au dessus du Rhin illustre la modernité de Strasbourg dès le milieu du XIXe siècle. Cette image témoigne aussi de l’attention apportée aux quais aménagés (arbres plantés, pontons) qui encouragent manifestement la promenade.

Le port

Le port et ses activités, bien représentés jusque dans les années 1950, ne sont plus du tout un motif de paysage. Pourtant, aujourd’hui, des ballades en bateau sont organisées par le port autonome de Strasbourg vers la vieille ville sur l’Ill et pour visiter le port lui-même. Mais ce tourisme fluvial à la fois patrimonial et industriel ne suffit manifestement pas à créer et diffuser de nouvelles représentations. Ces espaces restent encore peu prisés par l’imagerie touristique. La photographie professionnelle et amateur semble y être plus sensible, le goût pour l’esthétique propre à ces espaces suburbains initié par la photo d’art tendant à se diffuser.

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Emil Hartmann, Strasbourg, port du Rhin, carte postale, 1923
Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg
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Félix Luib, Strasbourg, port du Rhin, carte postale, 1937
Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg
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Port de Strasbourg, chantiers charbonniers, 1930
Carte postale, Dernières Nouvelles de Strasbourg
Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg

Ces trois cartes postales témoignent des paysages industriels de Strasbourg et de leurs emprises sur le bord du Rhin.

« Au risque de passer pour un méchant homme, je dirais volontiers que le port de commerce de Strasbourg a tous les mauvais côtés d’un port, et peu de bons. Les mauvais côtés : cet air décousu, va-comme-je-te-pousse, cet air de paysage qui n’a pas pris, mi-urbain mi-désertique, avec une impression concomitante, probablement fausse, d’un formidable gâchis d’espace. Des voies ferrées qui ont l’air de ne mener nulle part, de hangars à n’en plus finir, des citernes plantées au petit bonheur. Tout cela n’atteint à la grandeur que lorsque la mer y met une touche d’aléatoire et d’infini.
Soyons juste toutefois. Lorsque dans la nuit je reviendrai à Strasbourg quelques heures après qu’un orage crépusculaire d’une soudaineté tropicale eut en un tournemain dispersé les hordes de commerçants et de chalands mobilisés dans le centre de la braderie, la ville, chauffée à blanc tout le jour, transforme en abondantes vapeurs l’averse qu’elle vient de recevoir. Sur les bords de l’Ill – clochers, saules et vieux pignons émergeant d’une ouate lumineuse – le spectacle est déjà de qualité. Mais quand, passé le palais de l’Europe (ce gros tas), on atteint le canal et la zone portuaire, on regrette d’avoir traité à la légère ces solitudes maintenant noyées de brumes, palpitantes de vagues ressacs, d’indécises pulsations de moteurs, où l’éclairage au sodium parmi les grues, les silos et les tanks à pétrole, esquisse une vision contemporaine et suburbaine du
Crépuscule des dieux.
Jean Rolin, Chemin d’eau, La Table Ronde, 2013.
Première édition : Éditions maritimes et d’outre-mer, 1980

La ville contemporaine limitée au quartier des institutions européennes

Les seules images des extensions urbaines d’après la Seconde Guerre mondiale sont celles du quartier des institutions européennes. Les grands ensembles, les faubourgs, même plus anciens, sont absents des représentations, limitant l’appréhension de la ville. Récemment, la construction du tramway a permis de diffuser des images d’autres secteurs de la ville, mais qui restent focalisées le plus souvent sur le centre. Seules les photographies aériennes et quelques cartes postales des années 1950-70 rendent un tant soit peu compte de la figure de l‘agglomération dans son ensemble.

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Strasbourg : successivement, le palais des droits de l’Homme, le Parlement européen, le quartier européen, les places Broglie et de la République
Photos extraites de la rubrique d’album photo « Les Institutions européeennes », de l’Office de tourisme de Strasbourg

L’office de tourisme de Strasbourg comme l’ensemble des guides touristiques consacrent quelques pages au quartier des institutions européennes. L’architecture contemporaine en est le principal facteur d’intérêt. L’attraction exercée par le tramway est incidemment aussi l’occasion de représentations de secteurs de Strasbourg moins touristiques.

Grands ensembles et cités : des représentations disparues

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Cartes postales des années 1960-70, collection particulière
De gauche à droite et de haut en bas : Quartiers de l’Esplanade ; de Hautepierre, de l’université et de l’Esplanade, de la Canardière, de la Robertsau et à nouveau de la Canardière.

Les grands ensembles et les nouveaux quartiers étaient encore des sujets de représentations pour la carte postale des années 1960 et 1970. Aujourd’hui ces quartiers ont disparu des représentations touristiques. Ils ne font l’objet d’images que dans le cadre de leur rénovation.

Une agglomération en manque d’images

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A gauche, Strasbourg-Hautepierre : vue aérienne ; à droite, Bisheim, les ateliers SNCF
Photos en ligne sur le site du CRDP d’Alsace. Extraits des légendes qui accompagnent ces photos à caractère pédagogique.

Ici, des exemples de rares représentations de la banlieue de Strasbourg diffusées ici dans un but pédagogique par le CRDP d’Alsace. Les légendes qui les accompagnent insistent sur les transformations du paysage de l’agglomération

Photo de gauche, « (…) La totalité des espaces en avant de la photographie sont situés sur le ban communal strasbourgeois, c’est la banlieue. Quartiers récents, à l’organisation complexe cependant. La partie gauche (au nord) est plus ancienne (début des années 1970). Un groupe d’immeubles posés selon un plan d’allure elliptique correspond à une partie du quartier de Hautepierre, l’une des dernières opérations de grands ensembles en France. »
Photo de droite, « Dans ces anciennes banlieues proches de Strasbourg, ce sont les axes de circulation partant en étoile de la ville qui ont orienté la croissance urbaine et structuré l’espace urbain. L’urbanisation s’est diffusée le long des routes d’accès à Strasbourg selon une direction méridienne alors que les territoires communaux s’allongent d’est en ouest de l’Ill au rebord du Kochersberg.  »

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De gauche à droite, Lingolsheim, Reichstett, Schiltigheim et Strasbourg
Cartes postales, seconde moitié du XXe siècle, collection particulière

Les cartes postales des années 1960-70, souvent aériennes, rendent compte partiellement de la transformation des paysages des bords de l’agglomération de Strasbourg. Les vues sur le pont autoroutier au-dessus du Rhin sont de rares représentations d’une ville non cantonnée à son centre historique et enserré dans les bras de l’Ill.

Cours d’eau, canaux, parc naturels urbains, … des lieux de promenade valorisés, mais peu de représentations

Les guides et autres sites Internet dédiés au tourisme de la capitale alsacienne ne mettent que peu en valeur les espaces libres de l’agglomération souvent pourtant aménagés pour la promenade à pied ou à vélo et qui offrant de la « nature » accessible au sein de l’agglomération.

Destinés sans doute d’abord aux Strasbourgeois et aux habitants de la métropole, ces espaces, souvent en continuité les uns avec les autres comme dans le cas du PNU Ill Bruche [2] restent peu visibles.

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De gauche à droite, de haut en bas, canal du Rhône au Rhin, canal de la Marne au Rhin
Photos Jean Isenmann, Alsace-photos.com
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Stasbourg, le long du canal, 2014
Office de tourisme de Strasbourg

A gauche, Quelques images des canaux, espaces libres de Strasbourg et de son agglomération, sur le site de Jean Isenmann. Par rapport aux images du centre historique de Strasbourg, le photographe qui couvre pourtant une grande variété de sujets, d’offre relativement peu d’images de l’agglomération strasbourgeoise et de ces paysages.

A droite, une très rare représentation du canal (hors centre historique) sur le site de l’Office de tourisme de Strasbourg. Peu de mentions ne sont faites de paysages qui, au sein de l’agglomération et en dehors de la ville-centre, mériteraient d’être reconnus ou visités.

[1] Disponible sur Gallica

[2] Il faut se reporter au site de la communauté d’agglomération pour trouver des représentations des espaces naturels de l’agglomération, hors jardins et parcs.